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Comment stocker un barrage ?

Comment stocker un barrage antipollution ?

COMMENT STOCKER UN BARRAGE ANTIPOLLUTION ? Lors d’une pollution maritime, par exemple suite à un déversement accidentel d’hydrocarbures, le barrage flottant en PVC est une solution de dépollution utile et rapide, surtout lorsqu’on ne peut pas mettre en place d’autres méthodes. Son rôle est de confiner la zone de pollution et/ou de protéger des zones encore saines en attendant de pouvoir mettre en place les solutions adéquates à une dépollution durable. Lire notre article sur les effets des pollutions aux hydrocarbures sur l’environnement marin Pour être efficace, le barrage doit donc se tenir prêt à être déployé très rapidement. Afin d’optimiser le temps d’installation et les moyens humains, Eurosorb a mis au point un système de stockage innovant et très simple d’utilisation. Solutions de stockage et de rangement pour barrages antipollution Le stockage en container Optimise l’espace de stockage et la longévité des barrages Facilite leur mise en place Cette solution de rangement vous permet de garder votre barrage parfaitement à l’abri dans un container étanche équipé d’un système très pratique monté sur rails pour son rangement. Votre barrage est ainsi prêt à être rapidement déployé en cas d’urgence. Sa conception lui permet d’être stocké en accordéon, ce qui lui permet d’être facilement manipulable ; un point important lors de la mise en œuvre du barrage et de son rangement. 2 variantes : 1/ Container maritime 20 et 40 pieds Container neuf Container dernier voyage repeint Option ouverture par porte latérale 2/ Container sur-mesure en acier galvanisé ou en aluminium Fabrication sur-mesure : peut accueillir de grandes longueurs Élingable Rail de rangement Passage de fourche latéral et longitudinal Ouverture par toit amovible Porte battante 1 ou 2 parties Tapis de lancement en PVC Autre solution de stockage Différentes options et dimensions Fentes d’aération au fond et sur les parois Parois latérales optimisées quant au volume Construction du fond et des parois adaptée au produit Trappe d’accès Facilement transportable par transpalette ou chariot élévateur

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Eurosorb à pollutec 2018

Le salon POLLUTEC approche !

Le premier salon POLLUTEC a vu le jour en 1978. L’innovation est à la base de cet événement dont l’objectif est de mettre en avant les dernières nouveautés en matière d’équipements, de technologie et de services autour de l’environnement. Depuis 40 ans, ce salon permet les rencontres entre professionnels de l’environnement et porteurs de projets publics et privés à travers des événements et des rendez-vous dédiés. POLLUTEC a su évoluer et proposer toujours plus en terme de solutions pour différents secteurs. Cette année, POLLUTEC continue d’innover en mettant en avant un dispositif spécial à travers des conférences, un concours international qui prime les nouvelles innovations technologiques, divers remises de prix et trophées pour récompenser les réalisations les plus intéressantes des entreprises en terme de nouveautés. La prochaine édition du salon POLLUTEC aura lieu du 27 au 30 novembre 2018 à Lyon – EUREXPO France où nous serons présent dans le Hall 4, Allée D, sur le stand 173. Ce salon international vous permettra d’échanger avec nos spécialistes et de vous partager notre expertise en matière de protection de l’environnement et de prévention des pollutions qui sont les piliers de notre entreprise. Une gamme de références en obturation, protection, rangement sécurisé, sécurisation de l’outillage  avec notamment nos dernières solutions en attaches-outils, affichage, communication, kits antipollution, chiffons d’essuyage reconnue par les professionnels. E en attendant, vous pouvez aussi nous retrouver au salon EXPOPROTECTION du 6 au 8 novembre 2018 – Paris Porte de Versailles– Pavillon 1, Allée N, stand 26.    

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Terre de diatomée

Sur la terre de diatomée

La terre de diatomée, aussi connue sous le nom de diatomite, est une roche siliceuse légère, friable et poreuse. Sa couleur à l’état naturel oscille entre le gris clair et le bleu-vert. Elle est formée par l’accumulation des « squelettes » de diatomées, des algues unicellulaires enveloppées de silice qui se déposent dans les fonds marins. La diatomite, de par sa faible densité, se collecte facilement. La poudre de terre de diatomée est constituée de particules dont la taille atteint 3 micromètres à 1 millimètre. Selon sa granularité, la poudre de diatomée peut évoquer le toucher d’une pierre ponce en poudre grâce à son pouvoir abrasif. Sa composition chimique révèle un pourcentage assez élevé de dioxyde de silicium et de carbonate de calcium selon sa location géographique et l’histoire géologique du lieu. Nous pouvons d’ailleurs en trouver en France, notamment en Ardèche et dans le Cantal. La terre de diatomée a plusieurs sphères d’application. Elle est utilisée comme absorbant par l’industrie mais également comme abrasif ou comme insecticide. La terre de diatomée, un absorbant puissant Afin d’augmenter sa capacité d’absorption et d’en optimiser l’usage, la terre de diatomée passe par un processus de calcination. Elle est alors réduite en poudre et chauffée à plus de 800 °C jusqu’à l’évaporation de toute l’humidité contenue dans les granulés. Attention, après calcination, la terre de diatomée devient incompatible avec un usage alimentaire ou agricole. On la différencie facilement de la terre de diatomée naturelle grâce à sa couleur rougeâtre. Pouvoir d’absorption : 137% pour l’eau 154% pour les hydrocarbures Caractéristiques : Type : Hydrophile Densité : 453 kg/m3 Stabilité : Produit chimiquement neutre vis-à-vis de tous les liquides à l’exception de l’acide fluorhydrique Humidité : 2 % pH : 7 Norme : Absorbant conforme aux spécifications de la norme NFP 98-190 Homologué pour un usage sur routes et voies publiques Utilisation : Sur revêtement routier, en cas d’accident ou déversement. Pour absorber les hydrocarbures, les lubrifiants, les matières inflammables, explosives, toxiques, les substances chimiquement actives et toutes sortes de polluants liquides. Découvrir notre offre en terre de diatomée ainsi que nos alternatives en granulés absorbants.

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La sérigraphie

La sérigraphie et les produits personnalisables

Définition de la sérigraphie La sérigraphie consiste à imprimer un dessin ou un texte sur un support à l’aide d’un pochoir. Comment fonctionne la sérigraphie ? Pour le principe de base, l’imprimeur imprègne un écran avec de l’encre puis dépose un film de protection contre les ultraviolets sur la partie à masquer. Sous l’action des U.V, l’encre durcit sur le support et la partie protégée est rincée à l’eau. De nos jours le procédé a légèrement évolué… En effet, les machines de sérigraphie remplacent l’écran en soie par du polyester et de la polyamide, tandis que le cadre qui était en bois est aujourd’hui en aluminium. Les différents domaines d’utilisation de la sérigraphie La sérigraphie est partout. C’est une application qui peut s’effectuer sur tout types de supports. Elle a l’avantage de pouvoir reproduire un motif de manière répétée sur des objets, même en volume et/ou non flexibles, sans que le modèle à reproduire ne soit déformé. Grâce à cela, la sérigraphie est utilisée dans un panel très large de domaines. Vous retrouverez ce type de procédé aussi bien sur des textiles que sur divers matériaux comme le verre, le carton, papier, … Elle est particulièrement utilisée dans le monde de l’industrie graphique pour tout ce qui touche à la signalétique (panneaux, autocollants, banderoles,…), la publicité (affiches, objets de la marque,…). Il existe 3 types de sérigraphie dans le milieu industriel La sérigraphie à plat Comme son nom l’indique elles est utilisé sur des supports plats. La machine d’impression imprime généralement les feuilles une par une, c’est-à-dire une feuille par couleur nécessaire. Il existe aujourd’hui des machines beaucoup plus performantes qui permettent l’impression de toutes les couleurs en un seul passage. Elles amènent un gain de temps grâce à sa cadence plus soutenue lors de son exécution. La sérigraphie dite cylindrique La sérigraphie par cylindre est utilisé pour reproduire le motif et le texte sur un objet arrondi. La machine existe uniquement en système automatique et fonctionne soit en feuille à feuille comme la machine à plat ou par rouleau. Dans les 2 cas, elle est aussi principalement utilisée avec un passage par couleur. La sérigraphie sur textile Le textile n’étant pas un matériau rigide, il n’est pas possible de procéder de la même manière que la sérigraphie à plat ou cylindrique. On ne peut pas appliquer une première couche de couleur puis attendre que celle-ci sèche et reprendre le tissu au même endroit sans risque de déformation. De ce fait, on doit appliquer toutes les couleurs en même temps sans avoir à bouger le support. Pour une question de praticité, le sérigraphiste devra utiliser un carrousel pour réunir toutes couleurs nécessaires à la reproduction du motif. Pour la suite, on va procéder comme la sérigraphie à plat en positionnant le textile sur une jeannette ( gabarit en bois pour poser le tissu bien à plat) où l’on aura auparavant appliqué de la colle en spray pour que le textile ne bouge pas. Maintenant, la reproduction sur textile bénéficie de résultats plus rapides et de meilleure qualité en utilisant le « transfert à chaud ». Cela consiste à imprimer le modèle souhaité sur un support tel que papier ou film plastifié que l’on enduit ensuite de colle d’un côté, puis de le plaquer à l’aide d’une presse qui permettra par la chaleur de transférer le motif sur le textile. Mais à quoi cela vous est utile ? Eurosorb a souhaité proposer à ses clients la possibilité de personnaliser certains produits. Nous savons qu’il peut être nécessaire, pour une question de sécurité notamment, d’identifier certaines informations sur les produits. Cela nous a amené à vous proposer l’ajout de votre logo ou de divers textes, par exemple sur nos Kits anti-pollution, les sacs, … De plus, certaines sociétés, notamment dans le milieu industriel, souhaitent pouvoir appliquer des panneaux de signalisation ou logo sur le sol pour indiquer une zone dangereuse ou tout simplement y apposer leur logo. Nous avons donc la possibilité de le faire sur nos protections de sol  ou les dalles encastrables facile à positionner qui bénéficient d’une large gamme de couleurs et de textures. Enfin, dans les centrales nucléaires, la sécurité est la première des priorités ; c’est pourquoi il nous paraissait évident de proposer aussi cette personnalisation sur nos divers produits FME. Si vous avez besoin de plus de renseignements sur l’un de ces produits, n’hésitez pas à prendre contact avec notre service commercial qui saura vous accompagner dans cette démarche.  

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lame chasse-neige

Choisir les bons produits pour passer un hiver en toute sérénité

L’automne s’installe et l’hiver suivra. La neige et le verglas feront bientôt leur apparition et les désagréments qui y sont liés aussi. Eurosorb vous explique comment vous préparer pour passer un hiver en toute sécurité ! Qu’est ce que le verglas et comment se forme-t-il ? Si la pluie tombe sur une surface solide dont la température est inférieure à 0°C, elle se transforme en fine couche de glace transparente. Celle-ci peut devenir dangereuse, notamment sur les routes et autres sols qui deviennent moins praticables. La neige, quant à elle, se forme si la température en altitude est déjà négative et que celle de l’atmosphère atteint 0°C. Si elle est positive, la neige qui s’est formée ne tiendra pas et fondra au contact du sol. Nous allons vous aider à vous préparer à passer un hiver en toute sérénité en vous apportant quelques conseils pratiques, notamment sur le choix des produits à avoir en réserve dans ces circonstances. Bien que vous ayez encore du temps avant de voir la neige ou les premières gelée arriver, mieux vaut être prêt. Anticipez les problèmes en ayant déjà les bons produits sous la main afin de pouvoir intervenir rapidement et efficacement en cas de besoin. En effet, dans le cas d’une météo défavorable, la demande en sel et autre matériel d’hiver augmente alors que les livraisons peuvent être ralenties voire suspendues à cause des conditions de circulation. Il est important de ne pas s’y prendre à la dernière minute ! Nous proposons plusieurs solutions de déneigement et de déverglaçage selon les conditions météorologiques et vos besoins. En utilisation préventive :  on applique le produit sur la chaussée avant la chute de neige pour empêcher celle-ci d’adhérer et de durcir. Cela empêche le verglas de se former. En utilisation curative : quand le verglas est déjà formé ou que la neige adhère à la chaussée, pour les faire fondre. Il existe 3 gammes de produits qui peuvent convenir selon l’utilité que l’on recherche: Comment bien choisir ?                                                                 Le chlorure de sodium : efficace aux températures habituelles, le chlorure de sodium permet de faire face aux conditions climatiques difficiles comme la neige ou le verglas sur route. Appelé plus couramment « sel de déneigement« , il sécurise les chaussées, les trottoirs, les allées, les dallages, les descentes de garage, les escaliers, et bien plus encore !            Le chlorure de calcium :  le chlorure de calcium donne de meilleurs résultats que le sel car il agit plus rapidement. Il sera à utiliser lorsque les températures sont inférieures à -10°C et donc lorsque les conditions climatiques sont les plus difficiles. En effet, le chlorure de calcium dégage de la chaleur, ce qui va faciliter la fonte du verglas et de la neige. C’est un produit qui est utilisé principalement pour le salage des routes.           Découvrez Comment utiliser du sel de déneigement Quels matériels de déneigement utiliser ? De l’épandeur à sel, à la pelle à neige et à sable en passant par les bacs à sel, nous proposons une gamme de matériel adapté au froid. Épandeur à sel manuel L’épandeur à sel manuel va permettre de minimiser les risques de chutes sur les trottoirs le long des bâtiments, écoles,… et cela grâce à son épandage très rapide. C’est un outil maniable et équipé de pneus profil neige qui sera parfait pour un usage sur des zones de petites superficies. Il a l’avantage de posséder une béquille escamotable et une manette qui vous permet de gérer le débit de sel qui sera ainsi verser avec une certaine régularité. Plusieurs modèles sont disponibles selon la quantité à utiliser : de 20 à 35 litres, de 45 litres, et un modèle grande surface pour une plus grande autonomie pouvant atteindre jusqu’à 400 litres.     Pelle à neige et sable   La pelle à neige et à sable est fabriquée dans une tôle d’acier de 3 mm avec une très grande résistance à l’usure de son bord avant. Elle est puissante. La pelle sera très utile pour le déplacement et/ou le nettoyage de la neige, mais aussi pour les déchets, la sciure ou même le gravier. Elle possède un verrouillage intégré des fourches pour une plus grande sécurité et une manipulation plus sûre.         Lame à neige pour chariot élévateur La lame à neige est pratique car elle s’adapte parfaitement au chariot élévateur. Elle est équipée d’un système de ressort et d’un verrouillage des fourches. Le mécanisme à ressort a pour but de permettre à la lame de se rétracter en cas de collision, ce qui assure une plus grande sécurité. Vous pouvez régler la position de la lame à droite, à gauche ou la centrer selon vos besoins. De plus, son montage est simple et rapide. Enfin, la lame à neige recouverte d’une peinture époxy, possède un bord inférieur renforcé pour une durée de vie du produit optimale.     Pelle télescopique Notre pelle télescopique est très pratique de part sa petite taille qui la rend facilement transportable. La pelle plastique est renforcée et possède un manche en aluminium rétractable. Elle passe alors de 48.5cm à 71.5cm en un éclair ! Ce produit est léger, durable et résistant à la plupart des produits chimiques. Cela facilite également son entretien car elle sera facile à nettoyer. Vous pouvez l’utiliser aussi bien pour déblayer la neige ou le sable, vous en servir pour répartir le sel ou les absorbants en granulés. Elle sera très utile aussi pour déplacer du gravier. Un atout à avoir en toute circonstance !     Enfin, nous pouvons vous proposer divers bacs et coffres pour y stocker le sel et plusieurs dimensions possible pour s’adapter au lieu de stockage. Que ce soit en intérieur ou en extérieur, vous trouverez forcément le produit qui vous conviendra chez nous. Eurosorb est là pour vous aider à choisir judicieusement votre matériel. N’hésitez plus à nous contacter.

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Big-bags, GRVS

Les big-bags en 3 points

1. Un big-bag, c’est quoi ? Les bigbags sont de grands sacs couramment utilisés en chantiers pour la collecte des débris (gravats et autres matériaux en vrac). On les retrouve également sous la dénomination GRVS (Grands Récipients Vrac Souples). Ils sont fabriqués dans une toile en polypropylène résistante qui leur permet de supporter jusqu’à 1500 kg de charge. Dotés de 4 poignées en sangle, ils peuvent être levés par le crochet d’une grue. On évacue ainsi les déchets de manière efficace, sans multiplier les aller-retours à la déchetterie. Les caractéristiques des big-bags sont encadrées par la norme NF EN 1898 de février 2001 (« Spécifications relatives aux grands récipients vrac souples (GRVS) pour matières non dangereuses »). 2. Comment utiliser un bigbag ? Vous recevez vos Big-Bags Eurosorb pliés, conditionnés en palette. Pour les déployer, vous pouvez poser le sac directement au sol ou utiliser un support de bigbag qui facilitera son utilisation. Il convient d’éviter la collecte mélangée avec des produits dangereux. Globalement, on essaie de trier au maximum les déchets collectés en vue du tri et du recyclage. Retrouvez les densités de la plupart des déchets sur le site de la Sindra. Recommandations d’utilisation Remplissage Avant le remplissage, lire les indications sur l’étiquette du bigbag. Utiliser un support de bigbag ou poser le bigbag sur une surface stable. Remplir le bigbag de manière homogène. Ne pas dépasser la charge maximale indiquée. Déplacement Utiliser des outils de levage adaptés à la charge soulevée. S’assurer que les crochets et autres outils en contact avec les poignées de levage des bigbags ne contiennent pas d’angles saillants. Pour ne pas abîmer la sangle, leurs côtés doivent être arrondis. Lever, descendre et transporter le bigbag en douceur. Ne pas traîner le bigbag sur le sol. Pour un déplacement en chariot élévateur, ne jamais pencher les fourches vers le bas. Totalement vider le bigbag avant de le décrocher. Utilisation Inspecter les bigbags déjà utilisés avant réutilisation. Prendre en compte les risques liés à l’activité électrostatique, aux soulèvements de poussière et autres mouvements de matière. Pour empiler des bigbags, s’assurer de leur stabilité. Interdire l’accès à toute personne dans la zone sous le bigbag. Ne pas utiliser de bigbag ayant subi des réparations sans avoir la garantie de retrouver ses performances initiales. Stockage Stocker les bigbags à l’abri de la pluie et des UV, sur un sol lisse et propre. 3. Comment choisir son bigbag ? Big-bags classiques économiques Les bigbags économiques sont compatibles avec la plupart des agglomérats que l’on trouve en chantiers. Bétons, parpaings, briques, pierres Mélanges bitumeux sans goudron Carrelage, tuiles, céramiques et ardoises Terre, cailloux, pierres Big-bags amiante Les big-bags spécial amiante sont conçus pour la récupération sécurisée des matériaux amiantés. Leur fabrication réduit la diffusion des particules dans l’air. Une fois collectés, ces déchets peuvent être traités conformément à la norme en vigueur. Découvrez notre article sur le désamiantage. Big-bags filtrants Les bigbags filtrants sont adaptés à la collecte de déchets humides et de boues en facilitant l’évacuation de l’eau. Comment être certain de choisir le bon big-bag ? En demandant conseil à nos experts.

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Comment installer un bac souple

Comment installer un bac de rétention souple ?

Définition du besoin Le bac de rétention souple est une solution idéale dans plusieurs situations : Agencement d’une surface de stockage Besoin en rétention temporaire (pour le nettoyage ou le réaménagement de locaux par exemple) Passage de véhicules sur les bacs (pour dépotage par exemple) Agencement autour de machines, tuyauteries etc nécessitant une découpe sur-mesure Avantages : Peu coûteux Amovibles et pliables Déployables sur de grandes surfaces Grandes capacités Installation rapide Matériau compatible avec hydrocarbures, acides, soude et la plupart des produits chimiques non agressifs. Longue durée de vie, anti-déchirure Entretien simple Un grand nombre d’options Découvrez l’intérêt des bacs de rétention souples dans l’article qui leur est dédié   Quel bac souple choisir ? Capacité Capacité à définir selon la réglementation sur la rétention en vigueur. Matériau Tout d’abord, il convient de vérifier la compatibilité chimique des produits stockés entre eux. Ensuite, on définit les besoins de traitements spécifiques à appliquer au PVC des bacs. Celui-ci peut être renforcé pour de grandes capacités de rétention (obligatoire à partir de 3 750 L) ou pour le contact de liquides agressifs. C’est ce qu’on appelle le renforcement aux produits chimiques, qui améliore la durée de vie de la bâche. Couleur La couleur du bac est au choix dans une large gamme. Cependant, les teintes les plus sombres offrent une meilleure résistance aux UV et à l’usure. Le noir s’impose dans le cas de stockage de produits chimiques. Options Options d’utilisation Système de filtration spécial hydrocarbures Rampe en mousse à mémoire de forme Robinet de vidange Format spécial rayonnage Options de renfort Bandes de renfort pour passage de roues Bac renforcé anti-déchirure & grandes capacités Bac renforcé pour les produits chimiques Options d’aspect Sérigraphie (référence, capacité…) Bac de couleur spécifique Installation du bac de rétention souple 1. Déroulage du bac   Dérouler le bac de rétention sur une surface plane afin de ne pas créer de dénivelé, et propre pour ne pas abîmer la bâche sur des débris. Orienter le bac la face noire vers le haut. Étirer de chaque côté de manière à effacer les grands plis. 2. Mise en place des équerres   Rabattre les rebords vers l’intérieur du bac. Enfiler les équerres sur tout le contour dans les espaces prévus pour les accueillir de manière à former un triangle dont le sol est la base. 3. Basculement des équerres   A deux personnes au moins, se placer à l’intérieur du bac pour tirer les équerres vers soi de sorte à les redresser. Puis basculez et répétez l’opération côté par côté. 4. Ajustement des équerres     Saisir les équerres par le bas (partie dénudée) et tirer vers l’extérieur pour tendre le bac. Prendre soin de placer les équerres de sorte à ce qu’elles soient perpendiculaires à la bâche et ne se croisent pas. Cela permet de donner sa robustesse à la structure finale. 5. Ajustement de la bâche   Redescendre la bâche le long des équerres pour qu’elle soit le plus près possible du sol. 6. Contrôle du niveau Contrôler le niveau du bac afin de prévenir tout potentiel débordement. 7. Test d’étanchéité (optionnel) Eurosorb vous propose, en option, un test d’étanchéité du bac avant livraison. Le bac est installé sur notre plate-forme et rempli à sa capacité maximale sous la surveillance de nos techniciens. Ils repèrent les éventuels défauts de fabrication et procèdent aux réparations et ajustements nécessaires. Cette phase de test peut être réalisée sous la présence d’un huissier (avec un coût supplémentaire). En cas de doute ou de problème durant l’installation de votre bac de rétention souple, notre équipe technico-commerciale se tient à votre disposition.

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Tri des déchets en entreprise

Le tri des déchets en entreprise

Quelles sont les obligations pour le recyclage en entreprise ? Le tri et le recyclage en entreprise a mis plus de temps à s’instaurer que chez les particuliers. La faute sans doute au manque de sensibilisation et d’équipements adaptés. Mais le gain d’intérêt depuis quelques années pour l’écologie et le décret du 10 mars 2016 dans le cadre de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte donnent la nouvelle tendance. Aujourd’hui, et ce depuis le 1er janvier 2018, toutes les entreprises de plus de 20 salariés « de bureau » se trouvent dans l’obligation de recycler le papier. Par ailleurs, toute implantation produisant plus de 1 100 L/semaine d’un des cinq types de déchets recyclables (Verre, Plastique, Papier, Carton, Métal) doit procéder au tri de ces matériaux à la source. La valorisation de ces déchets passe par une entreprise de recyclage ou un intermédiaire chargé de la collecte, du transport et des négociations. Une attestation annuelle prouve la prise en charge des déchets et détaille la procédure. Sanctions encourues Les entreprises visées par la loi et ne la respectant pas encourent une amende administrative de 15 000 € maximum, en plus d’une astreinte journalière. Comment inciter les salariés au tri des déchets ? On estime qu’un salarié du tertiaire produit entre 120 kg et 140 kg de déchets par an, dont 70 à 80 % de papiers et cartons (Source : Être écocitoyen au bureau, Ademe, 2013). Chaque domaine d’activité produit différents types de déchets et dans des proportions différentes. Possibilités principales de recyclage : Bouteilles et sacs plastiques : Pulls polaires, contenants non-alimentaires, jouets, moquette, revêtements de voirie, etc. Papier et carton : Papier ou carton recyclé, emballages, etc. Canettes : Canettes recyclées, éléments métalliques d’électroménager, emballages, etc. Si l’intérêt écologique et économique du recyclage est souvent compris des salariés, leur comportement ne le reflète pas nécessairement. Pourquoi ? Souvent, ce sont les installations qui sont à revoir pour inciter au tri : manque de signalisation, capacité insuffisante des poubelles, mauvais emplacement de celles-ci… Il est important de choisir des collecteurs qui simplifient le geste du tri grâce à un code couleur, l’utilisation de pictogrammes, de formes : il s’agit d’instaurer des repères facilement compréhensibles, intuitifs, attrayants. Les collecteurs à déchets sont à placer près de lieux stratégiques : machines productrices de déchets (machine à café, photocopieuse), lieux de passage, de réunions… Il faut que les collecteurs soient faciles d’accès et facilement identifiables. Demandez un devis pour un collecteur plastique à couvercle coloré en option

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comment se protéger des inondations ?

Comment se protéger des inondations ?

Par les dégâts humains et matériels, une inondation peut mettre à mal votre entreprise. Des archives noyées, un système informatique en panne, des polluants relâchés par la submersion ; ce sont autant de risques qui peuvent être réduits voire éliminés par des mesures appropriées. Se protéger des inondations de manière efficace, c’est possible avec un peu d’anticipation. I. Comment savoir si je suis en zone inondable ? Le plus simple, c’est de se renseigner auprès de sa commune. La mairie détient une cartographie réglementaire (l’Atlas des Zones Inondables (AZI)) qui synthétise les risques d’inondation connus du territoire et les classe en trois niveaux : Rouge : construction interdite. Bleu : construction possible sous certaines conditions. Blanc : construction autorisée. En ligne, le MEDDE (Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie) publie des informations sur www.georisques.gouv.fr/cartes-interactives par exemple. Pour creuser le sujet et obtenir des informations encore plus précises sur un lieu en particulier, il convient de s’adresser à des organismes spécialisés (www.cepri.net). II. Prévoir les installations en conséquence Si vous prévoyez de construire ou de louer de nouveaux locaux en zone inondable, c’est l’occasion de concevoir votre installation en fonction des risques connus du lieu. Cela permettra une économie importante sur le long terme, que ce soit en coûts financiers ou en moyens humains et matériels déployés. Un emménagement bien pensé, c’est aussi bien moins d’urgences à gérer. II.1 Optimiser la construction en zone inondable II.1.1 Obligations à respecter en zone bleue En zone bleue, les conditions à respecter sont les suivantes : Construire sur la zone la moins exposée au risque du terrain Surélever les planchers habitables de 0,5 à 1,5 m Établir le niveau habitable au dessus des Plus Hautes Eaux Connues (PHEC) Faciliter les écoulements (en laissant des ouvertures régulières autour du terrain etc) Dans certains cas, il faut y ajouter d’autres conditions : Établir une zone de refuge Concevoir des accès rapides entre les étages et sous-sols II.1.2 Des matériaux qui résistent à l’eau En choisissant des matériaux adaptés. La structure doit être suffisamment résistante pour assurer une bonne fiabilité sous la pression de l’eau. Pour les parois, on évite les matériaux permettant la remontée de l’eau par capillarité. Les matériaux lourds (tels que parpaings et briques) résistent bien aux inondations ; en général, seul le revêtement est à refaire. Les cloisons sur ossature métallique offrent l’avantage de faciliter l’accès au réseau électrique. On peut envisager l’usage de matériaux hydrofugés si ceux-ci conservent leur caractéristique au delà de 72 h d’immersion. Dans tous les cas, faites confiance aux spécialistes chargés de la construction du bâtiment. II.1.3 Un système de ventilation naturel Il faut simplifier au maximum l’assèchement et le nettoyage du bâtiment, notamment avec un système de ventilation naturel (et non électrique, susceptible de tomber en panne) : des ouvertures en opposition dans le sens des vents dominants créent un courant d’air naturel. II.1.4 … Et pour les plus ambitieux La construction en zone rouge peut être rendue possible par l’utilisation de plates-formes amphibies. Celles-ci maintiennent le bâtiment au dessus du niveau de l’eau en lui répercutant la poussée d’Archimède. Quelques projets ont ainsi été réalisés dans le monde, mais l’investissement reste tel qu’il est rarement intéressant si l’on peut se permettre de construire ailleurs. II.2 Organiser son emménagement pour les inondations II.2.1 Identifier ou créer une zone non-submersible Lors de la construction et de l’aménagement de la société en zone inondable, il convient de définir, si cela est possible, un lieu dédié au stockage de produits sensibles. Il devra se placer au dessus du niveau des Plus Hautes Eaux Connues (PHEC). II.2.2 Déplacer les éléments vulnérables Placer tous les éléments sensibles à l’eau dans la zone non-submersible, en hauteur ou en étage, hors de portée des inondations. Cela comprend notamment : Équipements techniques (tableau électrique, chaudière etc) Polluants (produits chimiques, peinture etc) Systèmes informatiques Documents papier III. Quand on est dans l’urgence Que ce soit par manque de préparation ou parce qu’une inondation se déclenche dans une zone habituellement à l’abri de ces risques, l’eau arrive à votre porte et vous avez très peu de temps pour réagir. Alors, que faire ? Après la mise en sécurité du personnel vers les zones les moins sensibles (n’évacuez le bâtiment que sous les ordres des autorités) et l’extinction de l’électricité et du gaz, il faut s’occuper de prévenir au maximum les dégâts matériels. Découvrez l’infographie de la SMMAR sur la tenue à suivre en cas d’inondation III.1 Limiter l’entrée de l’eau III.1.1 Identifier les points d’entrée Portes, ventilations, évacuations : pensez à tous les accès possibles, surtout près du niveau du sol. Noter ces accès sur un plan peut s’avérer utile, notamment dans le cas de grandes structures et/ou de risque répété. Cela pourra éviter une désorganisation chère en temps et en moyens par la suite. III.1.2 Occulter les ouvertures Fermez autant que possible les points d’entrée précédemment identifiés. Un barrage de sol gonflable s’installe rapidement et permet de boucher des grandes ouvertures rapidement. Assurez-vous de l’étanchéité des accès (joints des fenêtres par exemple). Au delà d’une certaine hauteur, la pression de l’eau est telle qu’il peut être préférable de laisser passer un écoulement pour réduire le risque de casse. L’accès à l’intérieur doit rester possible pour les secours Prévoyez la gestion des eaux déviées (destination finale, débit attendu) III.1.3 Utiliser des absorbants Avant l’inondation : stockés à des endroits stratégiques sous forme de kits d’intervention, les absorbants permettent une première réaction rapide en cas d’inondation modérée. Attention à les placer à des endroits permettant un déploiement efficace. Pendant l’inondation : l’utilisation d’absorbants pendant une inondation peut permettre de limiter les infiltrations d’eau. Les coussins absorbants tous liquides sont par exemple une excellente alternative aux sacs de sable. Ils peuvent également recueillir les égouttements réguliers. Les boudins se placent en bas des portes pour retenir un flux modéré. Les feuilles absorbantes trouvent quant à elles leur place un peu partout dans vos locaux. Après l’inondation : Les feuilles et rouleaux permettent d’accélérer le nettoyage en épongeant rapidement le sol

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Comment détruire des absorbants usagés ?

Comment détruire des absorbants usagés ?

Les absorbants doivent être collectés et éliminés comme les déchets dont ils sont imprégnés. Les granulés absorbants sont le plus souvent incinérés (sauf pour les granulés d’origine minérale) mais peuvent aussi être stockés dans des centres d’enfouissement technique. L’inconvénient des granulés dans leur élimination est  principalement leur volume (plus important que pour les absorbants synthétiques) qui peuvent faire augmenter le coût de l’incinération. Les absorbants synthétiques, quant à eux, s’éliminent très bien en incinération avec un taux de cendres très bas. Il est également possible de les enfouir. Comment savoir si un déchet est dangereux ? Les déchets dangereux, et plus globalement les produits dangereux contiennent un ou plusieurs éléments qui représentent un risque pour l’humain ou pour l’environnement. Ce risque peut être toxique, radioactif, cancérigène, corrosif, phytosanitaire, etc. Dans l’article R541-8 du code de l’Environnement, on définit ainsi un déchet : Déchet dangereux : tout déchet qui présente une ou plusieurs des propriétés de dangers énumérées à l’annexe III de la directive 2008/98/ CE du Parlement européen et du Conseil du 19 novembre 2008 relative aux déchets et abrogeant certaines directives. Ils sont signalés par un astérisque dans la liste des déchets mentionnée à l’article R. 541-7. Déchet non dangereux : tout déchet qui ne présente aucune des propriétés qui rendent un déchet dangereux. Déchet inerte : tout déchet qui ne subit aucune modification physique, chimique ou biologique importante, qui ne se décompose pas, ne brûle pas, ne produit aucune réaction physique ou chimique, n’est pas biodégradable et ne détériore pas les matières avec lesquelles il entre en contact d’une manière susceptible d’entraîner des atteintes à l’environnement ou à la santé humaine. En bref, les déchets sont considérés dangereux dès lors qu’ils contiennent l’une des substances listées dans l’annexe de la décision 2000/532/CE de la Commission du 3 mai 2000. En 2014*, la France a produit 11 millions de Tonnes de déchets dangereux, ce qui représente environ 3% de la production de déchets totale. On constate une tendance à la baisse de ces chiffres depuis 2010, signe de la sensibilisation des sociétés aux problèmes environnementaux. Le mélange de plusieurs déchets dangereux est interdit sauf dérogation spéciale (Article L541-7-2). Pour chaque type de déchet, on peut attribuer un code relatif aux déchets dangereux. Gestion des déchets dangereux La planification de la gestion des déchets dangereux est organisée au niveau régional à travers des Plans régionaux de prévention et de gestion des déchets (PRGGD). Les déchets doivent être emballés ou conditionnés avec un étiquetage respectant la réglementation internationale ou européenne. Le transport doit être effectué en adéquation avec la réglementation spécifique au transport des matières dangereuses, celle-ci impliquant la prise de dispositions particulières. Le long de tout leur parcours, depuis la production, à travers le circuit de collecte et jusqu’au traitement final, les déchets sont tracés grâce à un bordereau de suivi. Celui-ci regroupe de nombreuses informations sur le déchet, son élimination et les intermédiaires qui le prendront en charge. L’incinération des déchets L’incinération des déchets est un processus auto-alimenté : il ne nécessite pas d’apport en carburant régulier. En effet, les fours fonctionnant de manière continue, c’est la chaleur émise par la combustion des déchets qui suffit à maintenir la température de brûlage. Les incinérateurs sont équipés d’un brûleur qui assure la montée et la descente progressives de la température ainsi que l’arrêt du four. Réception et stockage des déchets dans le « Hall de réception ». C’est là que sont entreposés et homogénéisées les ordures avant d’être transférées, à l’aide d’un grappin commandé à distance, vers le four. Les opérateurs peuvent surveiller le bon déroulement de tout le processus depuis une cabine de contrôle. Combustion des déchets dans le four. Celui-ci (ou ceux-ci, dépendamment des installations) fonctionne 24h/24 et 7j/7 tant qu’il y a de quoi l’alimenter (ce qui n’est pas un soucis en France). Le fonctionnement du four ne nécessite du carburant qu’à l’allumage, en cas d’imbrûlés ou de formation de produits toxiques. Plusieurs variantes existent, notamment des fours rotatifs (qui permettent une combustion plus homogène) ou des fours spécifiques à une catégorie de produits (déchets médicaux par exemple). Valorisation des déchets brûlés grâce à la récupération de chaleur. Durant la combustion, la température des vapeurs et fumées monte entre 850 °C et 1000 °C. Cette chaleur est transportée via un liquide caloporteur (qui transporte la chaleur, souvent l’eau). Celui-ci se vaporise et est distribué dans un réseau de chaleur ou à une turbine pour créer de l’électricité. L’incinération est, à ce jour, l’une des meilleures solutions permettant de diminuer la pollution des nappes phréatiques en empêchant la stagnation des déchets sur le sol. Avantages Valorisation des déchets par création d’énergie Processus auto-alimenté Diminue la pollution des sols et de l’eau Réduction efficace du volume (90%) et de la masse (70%) des déchets Inconvénients  Pollution de l’air par rejet de dioxines et dioxyde de carbone Production de REFIOM (résidus d’épuration des fumées d’incinération des ordures ménagères) Ne convient pas à tous les déchets L’enfouissement des déchets En France, il existe trois types de décharges. Les décharges de classe 1 se destinent aux déchets dangereux et sont réglementées par l’arrêté du 30 décembre 2002 relatif au stockage de déchets dangereux (modifié en 2009). Les classes 2 et 3 sont respectivement conçues pour les déchets non dangereux et les déchets inertes. Les décharges de classe 1 sont également appelées « Centre de stockage de déchets dangereux » (CSDD). Elles sont utilisées principalement pour la collecte des « déchets industriels spéciaux », qui possèdent une caractéristique dangereuse reconnue. Avant enfouissement, les ordures présentant un risque particulier sont stabilisées. Cela a pour but de limiter les interactions entre produits chimiques dans la fosse. Il existe quatre principales méthodes de stabilisation : La solidification : Donner une structure physique au polluant par différentes techniques. La fixation chimique : Immobiliser le polluant dans une matrice par liaisons chimiques. La fixation physique : Encapsuler les polluants ou le déchet complet dans une gangue étanche. La vitrification : Retenir les polluants dans une matrice vitreuse obtenue à haute température. Dans tous

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